Plaisir
d'offrir, Joie de
recevoir...
Le propre des rengaines est d'être à la fois
insupportables et inévitablement fredonnées.
Notre "sparadrap du Capitaine Haddock" à nous est un
sacré petit bonhomme qui mousse et qui
trépigne
pour être Calife, euh... pour figurer à notre
palmarès:
"Da dou ron ron ron da dou ron
ron
Peut-être bien que ce sera vrai un jour
Da dou ron ron ron da dou ron ron
Oui peut-être demain
Oui adieu mes chagrins"
Mais il n'est pas acquis que son rêve se réalise,
bien qu'avoir
une rubrique dédiée sur notre site Internet soit
déjà une belle distinction.
Bienvenue à la
petite dernière.
Une nouvelle association taurine est
née et c’est toujours
une satisfaction de voir notre famille taurine s’agrandir et
bla bla bla …..
« Comme
prévu,
et l'émotion en plus, l'Observatoire National des Cultures
Taurines a vu le
jour hier dans la salle d'honneur de la mairie d'Arles lors d'une
assemblée
générale constitutive à laquelle ont
participé toutes les entités taurines
en présence de Michel Vauzelle, président de la
région PACA, et de Hervé
Schiavetti, maire d'Arles et prochain président de
l'UVTF. » édito
de TERRES TAURINES du
23 mars 2008.
Toutes les terres
taurines ?
Non seul résiste
un
village d’irréductibles nia nia
nia...
L’OCT est
un bon
projet auquel l’Anda ne participe pas pour deux ou
trois raisons que nos
millions de lecteurs et de fidèles ont le droit de
connaître.
1 : André
VIARD :
Nous avons un vrai
contentieux lourd et sourd avec Dédou
ces dernières années et dans
l’intérêt de l’OCT il est
préférable que
nous ne nous écharpions pas dés la
première séance de travail. Dommage pour
nous qui sommes passablement isolés non pas à
cause de nos idées mais surtout à
cause des idées des autres.
2 : Un
point est
difficile à éclaircir : quelle
culture tauromachie l’OCT va-t-il
défendre ?
Mais poser cette question
en préambule nous condamnerait à la lapidation
immédiate.
Or cette question est
fondamentale pour la simple raison que les mauvaises pratiques taurines
ont
d’avantage exaspéré les aficionados que
ne l’ont fait les zantis au cours des
dernières décennies et il est bien curieux que
l’OCT s’interdise de
vouloir considérer
l’aspect éthique de
ce qu’elle va défendre.
Nous avons donc acquis
la profonde conviction que nous avons déjà pas
mal donné et beaucoup reçu et
nous allons observer l’observatoire avec sollicitude et
affection.
Qui sait si, un jour,
dans un climat apaisé et joyeux, il ne nous sera pas
donné une deuxième
chance ?
L’ANDA semper.
[Mars 2008]
Compilons ici le fil rouge de l'affaire de
l'automne:
Interdiction aux mineurs /
Toros / Viard
Tout commence avec l'envoi
à l'Élysée
d'une lettre du comité de Samadet (datée du 3
octobre 2007) comme le relate
Campos
y Ruedos.
Au milieu d'un texte riche et constructif, la regrettable proposition de
"ne
pas interdire l'entrée des
arènes à nos enfants dès lors qu'ils
sont accompagnés de leurs parents" fait réagir TOROS et
ça démarre..
Retraits ou regrets de certains signataires
(Bibliophiles de l'UBTF en tête), l'action
discrète tourne au Clochemerle. Viard apostrophe la vieille dame dans son édito du 29 octobre
et dans celui du 30, enfin disponible dans
les archives
de Terres Taurines, et
la réponse de la
vénérable est savoureuse.
Quelques jours et notre propre Lettre
au Président
passent,
et Viard croit ne rien lâcher dans son édito du 6 novembre:
"Comment ne pas
comprendre alors que loin
d'être une
maladresse, en introduisant la notion d'accord parental -
sans en
préciser la forme - on aboutit à
déplacer le
débat, la question posée n'étant plus
de savoir
s'il faut ou pas interdire l'entrée des arènes
aux
mineurs mais de savoir s'il faut conditionner celle-ci à
l'autorisation préalable des parents ?
Les termes du problème étant modifiés,
la
probabilité d'obtenir une réponse positive l'est
également :
au mieux, le statu quo, au pire, les mineurs devront être
"accompagnés".
Mais dans les deux cas ils pourront continuer d'aller aux
arènes. Autrement dit, c'est du 100%, même si le
risque existe que la liberté soit provisoirement
édulcorée.
Que vaut-il mieux ? Tenter le passage en force en bluffant pour faire
croire que l'on est prêt à dresser des barricades
en cas de décision contraire alors que ce n'est
malheureusement
pas le cas, ou gagner du temps pour éviter le pire ?" |
On note que
l'accompagnement par les parents s'est transformé en accord
parental, ce qui n'est pas du tout la même chose. Dommage de
ne pas l'avoir écrit ainsi dans la version
élyséenne. Reste que concéder que la
tauromachie est suffisamment problématique pour que
l'accès des enfants y soit encadré
constitue un
socle pour les interdictions futures, un premier pas vers une corrida
sans picadors ni mise à mort.
Mais le malaise est ailleurs maintenant, l'activité de TOROS
auprès des signataires a irrité le leader maximo,
et un simple coup de téléphone de notre part
à Olivier Barratchart pour connaitre la position
de la Grande Muette UVTF est ressenti comme une
véritable
agression. Nous voilà devenus co-procureurs de
procès stalinien dans un billet de l'édition du 7
qui se conclu par une belle tirade paranoïde:
"Si
le
simple fait de me clouer au pilori pouvait permettre de sauver la
tauromachie, je serais prêt à leur offrir les
clous ! Malheureusement
les choses ne sont plus aussi simples qu'au temps où une
bonne chasse
aux sorcières ou un procès stalinien permettaient
de masquer les vrais
problèmes et de dissimuler ses propres
impérities." |
Nous laisserons Dédou Premier se clouer tout seul, il ne
faudrait pas que notre impéritie ne provoque de
malencontreux
panaris.
AИДA.
[9/11/2007]
De
ce que les antis taurins n’ont pas l’apanage du
terrorisme intellectuel.
"….des
viandards assoiffés de sang
préférant le
procès d'intention au
débat d'idées.....nostalgiques des piques
meurtrières d'antan...dogmatisme
stérile...dépourvu de bon
sens….éthique mal
assimilée…ultras….extrême gauche….destructeurs…..".
André
VIARD.
Faut-il
polémiquer avec
A.VIARD? Y
a-t-il un élémentaire
intérêt à
réagir ?
Non bien sûr. Mais
c’est
peut être l’occasion de rappeler quelques
évènements aux aficionados lecteurs
goguenards qui auront la curiosité de gratter.
On ne peut pas grand
chose contre quelqu’un qui combat des
« menaces »,
« des
fatwas », ou des
« excommunications » que personne
ne profère et
qui donne l’illusion d’un combat contre des forces
du mal afin de se donner
l’image d’un sauveur et d’un saint.
Il
y a chez VIARD le
meilleur et le pire .Et si on est tous d’accord pour
reconnaître l’importance
de son travail et ses compétences réelles et
diverses, il est aussi constant
qu’il ne supporte pas la moindre perception
différente de la sienne et qu’il
est prêt à aller très loin pour
s’auto proclamer Leader.
A. VIARD, maître
à
penser l’aficion
française, nous
gonfle
dés qu’en tauromachie une opinion ne
ressemble pas à la sienne. Ca dure
et à mon avis ça va durer longtemps...
Les éditos des 6 et 26 mai
(qui ont disparu des archives
mais que nous avons conservé) puis ceux du 14 et 28
juillet visent l’ANDA
et la
mouvance dite
« torista » qui n’a pas
le mérite d’être
tièdasse et qui ne veut pas se laisser balader .
Que A. VIARD nous invente des dangers
qu’il combat
victorieusement et virtuellement, ça peut passer. Inventer
des anathèmes et des
imprécations pour ensuite coller des étiquettes
à des ennemis tout aussi
virtuels, c’est très gênant.
Pour être
affublée d’étiquettes, toujours
faciles, depuis
trente ans, l’ANDA va
elle aussi vous
proposer quelques éléments de
réflexion.
L’étiquette, ça
pose à bon
compte pour l’entourage, les bobos
et les admirateurs. Viandard, c’est
l’injure classique des zantis quand
ils parlent des chasseurs mais c’est aussi
l’anagramme contre
nature de ANDA- VIARD.
Et je pose la
question avant tout le monde : « Mais
combien qu’ils sont à l’ANDA ? »
comme ça c’est fait .
Le mode de
pensée à Dédé le
Gourou est toujours le
même depuis que son audimat à
flambé pour passer à 8.568.745.126.271
connexions par jour . Il ferait donc un petit
peu mieux que nous… Ok .
"Vous ne pensez pas comme moi qui
suis plein de bon
sens et de savoir. Et donc vous êtes des imbéciles
et je le prouverai de gré ou
de force quitte
à vous traiter de tout
sur mon site qui est le Nouveau Testament de la pensée
taurine et que vous êtes
des ignorants, des cons, et comme je dis tout et son contraire je
retombe sur
mes pattes et que Casas il est gentil lui et que je réclame
un euro par billet
pour créer le Conservatoire des Cultures Taurines dont je
serai le Directeur
Président International et que les Pilar de Dax
ils étaient pas drogués et
qu’à Nîmes
il ne s’est rien passé de grave et que ceux du
Tendido 7, l’ANDA, les ULTRA, l’extrême
gauche, l’Opus Dei, la CGT,
l’OAS et les basques ce sont tous des hystériques
névrosés destructeurs et que
moi je suis formidable et
que l’afeitado
c’est très rare… Votez pour moi sinon
les anti taurins vont manger vos enfants... Je suis le Sauveur, la
catastrophe est proche, venez vous
réfugier à Terres
Taurines, n’oubliez pas d’acheter la revue et
pensez à cliquer, encore,
cliquer, encore…"
Le leader maximo nous
propose de réfléchir
régulièrement. Mieux, il se propose de nous y
aider en
nous donnant des pistes et des éléments qui vont
nous permettre de nous améliorer.
Le leader maximo veut
nous aider à comprendre, il nous guide et comme il a une
information d’avance
et que c’est son métier, il nous propose
aimablement ses prophéties qui se
vérifient d’ailleurs puisqu’il a
justement une information d’avance. L’ANDA
peut rien contre
l’hystérie ou la malhonnêteté.
Quand
A.VIARD a convoqué
l’ANDA à Toulouse pour la
Déclaration des Droits de
l’Aficion, nous avons répondu
présent et avons été les seuls avec la FSTF
parmi la cinquantaine d’entités
présentes à alimenter
l’outil de travail informatique que A.VIARD avait mis en
place.
Quand A.VIARD a
convoqué
l’ANDA à Samadet pour la réunion que
vous savez, nous avons répondu présent
malgré de sérieuses réticences.
Quand A.VIARD, pendant
des années voulait connaître le
palmarès de l’ANDA pour le mettre en ligne,
nous le lui communiquions.
Quand A.VIARD pendant des
années nous posait des questions « en
live » sur ce qui se passait
aux congrès de l’UVTF, nous lui
répondions.
Aujourd’hui
A.VIARD dit
que nous sommes une minorité qui s’isole, qui ne
fait rien et qui est
destructrice alors même qu’il sait que nous avons
participé à trente années de
Congrès de l’UVTF, et à trente
années de réunions avec les éleveurs,
les
Commission Taurines, les
vétérinaires… Trente années
de prospectus sur la
pique, sur la lidia, sur l’intégrité du
toro, sur les encastes. Il y a eu des
bodegas de l’ANDA, des tertulias, des
expositions et même des conférences qui
remplissaient la salle de la MJC de
Castelnau le Lez avec au programme par exemple Miura, Victorino, Ruiz
Miguel
entre autres.
Trente
années à nos
frais, sans se payer le petit voyage en Espagne avec les sous de
l’asso. Trente
années avec un effectif allant de trente à cent
cinquante quand dans le même
temps des centaines d’associations ne travaillaient que pour
elles. Nous
devrions avoir des complexes?
Et
dans le même temps
nous étions déjà traités
d’ « ayatollahs »
par les Clubs Taurins
Paul Ricard et autres qui n’ont jamais porté un
dossier à l’UVTF et qui se sont
fait un fric considérable sur le dos de la tauromachie.
Si ce n’est pas le
monde
à l’envers… on n’en est pas
loin.
A Bayonne la FSTF
est obligée de donner
des billets de corridas à des gamins qui acceptent de
distribuer le tract
éducatif mauve à l’entrée
des arènes car on ne peut trouver d’aficionados
pour
le faire parmi la vingtaine de peñas que compte la ville.
A Nîmes la centaine de
clubs taurins n’a pas bronché dans
l’affaire Casas/Palha/UVTF.
A Dax ils ont perdu la Concours, ils ont
récupéré par contre une augmentation
de cinq pour cent, on leur a flingué une
corrida du Pilar, ils ont une revente florissante alors que le
pékin sans abono
n’a pas de billet. Qui a essayé quoi que ce soit
à part l’ANDA qui aura imposé
la visite des toros possible à tous alors qu’elle
n’était réservée
qu’aux initiés ?
Ce que les initiés privilégiés nous
reprochèrent évidemment.
Et à Mont de Marsan,
l’ANDA travaille dans une commission taurine qui, si elle
n’a pas viré Chopera
ni Labeyrie aura eu le mérite de virer Fontecha et
rétablir la novillada
piquée.
La pétition
Fontecha? Serait-ce l’oeuvre de
danseuses de sévillanes ?
On pourrait en faire des
pages, d’ailleurs depuis quelque temps l’ANDA
commence à raconter son histoire
et donc celle de son environnement.
Depuis trente ans nous
sommes les spectateurs désolés de voir la plus
grande partie de l’aficion
française se faire promener par les plus malins qui se
bâtissent des carrières
de « notables en Toros » sur le
dos des Toros.
Dans ce contexte
nous ne pouvions que récolter des noms d’oiseaux
et des épithètes peu élogieux.
Donc la caricature et
l’étiquette ont été
beaucoup pratiquées chez nous mais à nos
dépends.
Quant
à notre palmarès
nous ferons remarquer pour la cinq millionième fois
qu’il comporte toujours
d’avantage de prix positifs que négatifs et que
nous ferons un effort
particulier pour le trentième.
Vous aurez aussi remarqué que ce grand journaliste taurin ne
reproduit pas sur
son site les commentaires de ses antagonistes ni ne propose de liens
vers ceux
qui apportent la contradiction. Il faut éviter toute
contagion et accepter
comme authentique des débats invérifiables.
Nous
sommes isolés c’est
sûr, mais assez fiers ma foi de ne pas appartenir
à cette part d’aficion
complaisante qui s’est davantage servie qu’elle
n’a servi la tauromachie. Et ce pourrait
être une
vraie divergence de fond, identifiée ou
ignorée, qui opposerait A.VIARD
(et d’autres) à l’ANDA. Ce qui serait un
moindre mal et un sujet de débat
jusque là tabou. Il
en existe hélas une
autre : nous ne sommes pas clients de Terres Taurines, au
propre et au
figuré. Nous ne faisons pas partie de ces entités
qui craignent le Prophète. Nous sommes
incontrôlables et nous
sommes témoins de
trente années de tauromachie française
d’ouest en est. Nous sommes donc
potentiellement gênants car nous pourrions bien nous mettre
à gueuler à l’imposture
quand la ficelle sera trop grosse.
Exemple
de ficelle trop
grosse pour l’ANDA : les anti taurins nous
surveillent, réglons nos
problèmes entre nous en silence sans rien dire pas un
geste…chut ! Il y aurait une raison
d’état qui voudrait qu’au nom des zantis
on cache nos misères.
L’ANDA ne le voit pas de cet œil là
et le dit. Donc nous sommes des irresponsables aux yeux du Saint Homme qui
mène une guerre sainte qui en
plus n’est pas désintéressée.
Autres ficelles :
les Pilar de Dax …CHUT !!!! Les
Palha…CHUTT !!!!
Nous
avons bien saisi
depuis longtemps que le fait de ne pas participer au ronron des
clubs/palcos/commissions/callejons/vins d’honneur/ nous
rendait insupportables
aux yeux de nos voisins de tertulias. Nous n’avons pas voulu
participer à cette
comédie et nous allons payer la note dignement et sans
regret. C’est un choix
très respectable qui ne vaut pas, Monsieur Viard
qu’on soit traités de
viandards, de terroristes ou de destructeurs à moins
d’être très malhonnête.
Nous
proposons qu’une
statue de bronze grandeur nature,
comme ces encierros de toros dans quelque rue d’Espagne,
représentant une
dizaine d’aficionados, banderoles sur
l’épaule et tenant des prospectus,
soit érigée devant les
arènes de Nimes ou de
Dax . Statue financée par les Ricard.
Dessous
il y aurait une inscription qui
dirait : « Mais
combien étaient-ils donc à
l’ANDA ? »
La plate forme collective générale
internationale.
[3/08/2007]
La seule jurisprudence que notre
action est susceptible d’établir est que le
remboursement
de billet de corrida ne peut se baser sur une analyse de cornes qui ne
soit pas inscrite dans les règles
édictées par
l’article 263 du nouveau code de procédure civile.
Cela ne
dédouane pas les villes membres de l’UVTF de
respecter
leur règlement ou les décisions prises en AG. La
discipline librement consentie reste valable et personne ne peut
obliger une municipalité à acheter un lot de
toros contre
son gré.
Le problème avec la ville de Nîmes fut que la
seule
sanction possible après la programmation des Palha en 2006
(après un lot positif en 2004 et un sursis en 2005) a
été une simple exclusion de
l’association UVTF. La
belle affaire.
Par chance, João Folque de Mendonça ayant
demandé
contre-expertise, nous nous somme retrouvés pour la
première fois en présence de conclusions
d’un
vétérinaire faisant autorité (le
professeur
SAUTET) qui explicitait dans son rapport : «
l’usure est
artificielle », ce qui n’était pas le
cas dans les
rapports de l’AFVT se contentant de pointer les «
manques
de substances ». Ce précédent
était pour
nous une occasion à saisir et l’action
auprès du
Tribunal de Proximité s’est imposée
comme
étant la plus opportune. André Viard devait
visiblement
partager notre sentiment pour qualifier (après coup, certes)
ce
dossier d’imperdable.
Il se trouve que nous avons été
déboutés
pour des raisons de forme mais cette décision de justice
éclaire le dossier et contribue à faire avancer
la lutte
contre l’afeitado. Il n’est pas plus permis
aujourd’hui qu’hier d’afeiter et on
pourra toujours
décerner le « moignon d’or »
ou le «
pinceau d’argent » si bon nous semble. Nous nous
piquons
même de croire que l’ANDA n’est pas pour
rien dans
l’évolution de la perception de
l’afeitado en France
où nous sommes passés successivement par les
états
suivants :
- « L’afeitado est un fantasme, vous en voyez
partout »
- « On analyse systématiquement en place
‘de
première’ et, miracle, plus de 30 % des cornes
sont
touchées »
- « L’article 263 du NCPC doit être
respecté si on veut poursuivre efficacement les fraudeurs
»
Quant à l’inclusion d’André
Viard à
notre palmarès, il nous sera plus facile de lui faire ce
plaisir
quand il choisira entre les plumes de corbeau et d’aigle
qu’il alterne avec schizophrénie.
Marc GÉRISE.
[19/07/2007]